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« Cet ouvrage [Aux origines de la décroissance] en forme de spicilège [recueil] propose cinquante noms pour cartographier la décroissance. L’enjeu est de parvenir à dénouer les fausses évidences du progrès technique et de ses ressorts destructeurs pour les rapports sociaux et l’environnement. De la lucidité de Günther Anders à propos des terrifiants effets de la puissance technique aux interpellations revigorantes de Pierre Fournier, fondateur du journal écologiste La Gueule ouverte, en passant par l’écologie sociale de Murray Bookchin, c’est une vaste diaprure [panorama] d’engagements et de discours qui sont mis en exergue. » « Chaque chapitre [de Aux origines de la décroissance] apporte son lot d’idées : que la consommation soit un ordre du pouvoir au service des fabricants, que la possession finit vite par nous bloquer, que la télévision n’est plus qu’un écran publicitaire normalisateur (livré en prime à des groupes incultes, dénués de goût..) Le prix d’une chose c’est la part de vie (de temps, d’effort) que l’on doit donner en échange… Je ne peux ici citer tous ces philosophes, leurs idées et les auteurs qui nous les présentent, un peu comme un annuaire des résistants, mais aussi un guide de pensées, et une boîte à outils de défense. » Aux origines de la décroissance, dans toutes les bonnes librairies ou sur commande ici. MONTPELLIER : CONFÉRENCE AVEC PIERRE THIESSET AUTOUR DU LIVRE « LE PROGRÈS M'A TUER » EXPÉDITION DE LA DÉCROISSANCE NUMÉRO 138 LE LUNDI 27 MARS LA DÉCROISSANCE DE FÉVRIER 2017 EN KIOSQUE JUSQU'AU 28 MARS |